(F.Porterie-Images/Images)

Tu t'éveilles, tu t'agites, tu souris
Et l'espace, tout autour, s'agrandit
C'est du bleu, dans le gris, le soleil après la pluie
Quand tu me souris
Mon amour, ma vie

Un bruit ou le silence trop intense
Tout m'enchaîne à tes nuits
Mon sommeil suspendu au moindre de tes cris

Et quoiqu'il m'en coûte, sans un remord
Celui qui te touche est un homme mort
Que ceux qui t'approchent de leur amour
Sachent bien à leur tour, que je serai là toujours

Le temps passe , tu t'éveilles à la vie
Et l'espace entre nous s'agrandit
Et tant pis si ton cœur s'en va battre loin d'ici
Tant que tu souris, mon amour, ma vie.

D'avance tes silences, tes absences déjà,
M'enchaînent à ta vie
Mon sommeil suspendu au moindre de tes cris

Et quoiqu'il m'en coûte, sans un remord
Celui qui te touche est un homme mort
Que ceux qui t'approchent de leur amour
Sachent bien à leur tour, que je serai là toujours

Et si je m'écroule sous les coups du sort
Réduit à un souffle, je serais encore
Le vent qui te pousse jusqu'à bon port
Et toujours plus fort

Mais toi tu souris, mon amour, ma vie