Abd Al Malik - L'alchimiste
Je n'?is rien, ou bien quelqu echose qui s'en rapproche,
J'?is vain et c'est bien c'que contenait mes poches.
J'avais la haine, un m?nge de peur, d'ignorance et de g?.
Je pleuvais de peine, de l'inconsistance de ne pas ?e moi-m?.
J'?is mort et tu m'as rammen? la vie:
Je disais "j'ai, ou je n'ai pas"; tu m'a appris ?ire "je suis".
Tu m'as dit: "le noir, l'arabe, le blanc ou le juif sont ?'homme ce que les fleurs sont ?'eau"
Oh, toi que j'aime et toi, que j'aime.
J'ai travers?ant d'avenues, tellement attendu ta venue
Qu'?a vue, je ne savais plus si c'?it toi, si c'?it moi
Si c'?it toi, Eh, toi que j'aime je cr?ton nom
Dans le d?rt des villes que j'traversais car
S?e ton existence, je savais que tu m'entendrais
Et, toi, que j'aime, Oh, toi... que j'aime
Je n'?is rien, ou bien quelquechose qui s'en rapproche,
J'?is vain et c'est bien c'que contenait mes poches.
J'avais la haine, un m?nge de peur, d'ignorance et de g?.
Je pleuvais de peine, de l'inconsistance de ne pas ?e moi-m?.
J'?is mort et tu m'as rammen? la vie:
Je disais "j'ai, ou je n'ai pas"; tu m'a appris ?ire "je suis".
Tu m'as dit: "le noir, l'arabe, le blanc ou le juif sont ?'homme ce que les fleurs sont ?'eau"
Oh, toi que j'aime et toi, que j'aime.
Ni la rue, ni les drames, ne m'ont voil? ta vue
M? au plus bas, m? quand j'disais que tout ?it foutu!
Je t'aimais comme si je te voyait,
Car si je ne te voyait pas, je savais que j'?is vu par toi.
Et, toi que j'aime. Tu es un lion et ton coeur est un soleil
L'ultime secours de ceux perdus dans leur sommeil.
Et, toi, que j'aime, Oh, toi... que j'aime
Je n'?is rien, ou bien quelque chose qui s'en rapproche,
J'?is vain et c'est bien c'que contenait mes poches.
J'avais la haine, un m?nge de peur, d'ignorance et de g?.
Je pleuvais de peine, de l'inconsistance de ne pas ?e moi-m?.
Tu es, tu es l'alchimiste de mon coeur
Et, toi, que j'aime, Oh, toi... que j'aime,
Eh.... oh, toi que j'aime...
J'?is vain et c'est bien c'que contenait mes poches.
J'avais la haine, un m?nge de peur, d'ignorance et de g?.
Je pleuvais de peine, de l'inconsistance de ne pas ?e moi-m?.
J'?is mort et tu m'as rammen? la vie:
Je disais "j'ai, ou je n'ai pas"; tu m'a appris ?ire "je suis".
Tu m'as dit: "le noir, l'arabe, le blanc ou le juif sont ?'homme ce que les fleurs sont ?'eau"
Oh, toi que j'aime et toi, que j'aime.
J'ai travers?ant d'avenues, tellement attendu ta venue
Qu'?a vue, je ne savais plus si c'?it toi, si c'?it moi
Si c'?it toi, Eh, toi que j'aime je cr?ton nom
Dans le d?rt des villes que j'traversais car
S?e ton existence, je savais que tu m'entendrais
Et, toi, que j'aime, Oh, toi... que j'aime
Je n'?is rien, ou bien quelquechose qui s'en rapproche,
J'?is vain et c'est bien c'que contenait mes poches.
J'avais la haine, un m?nge de peur, d'ignorance et de g?.
Je pleuvais de peine, de l'inconsistance de ne pas ?e moi-m?.
J'?is mort et tu m'as rammen? la vie:
Je disais "j'ai, ou je n'ai pas"; tu m'a appris ?ire "je suis".
Tu m'as dit: "le noir, l'arabe, le blanc ou le juif sont ?'homme ce que les fleurs sont ?'eau"
Oh, toi que j'aime et toi, que j'aime.
Ni la rue, ni les drames, ne m'ont voil? ta vue
M? au plus bas, m? quand j'disais que tout ?it foutu!
Je t'aimais comme si je te voyait,
Car si je ne te voyait pas, je savais que j'?is vu par toi.
Et, toi que j'aime. Tu es un lion et ton coeur est un soleil
L'ultime secours de ceux perdus dans leur sommeil.
Et, toi, que j'aime, Oh, toi... que j'aime
Je n'?is rien, ou bien quelque chose qui s'en rapproche,
J'?is vain et c'est bien c'que contenait mes poches.
J'avais la haine, un m?nge de peur, d'ignorance et de g?.
Je pleuvais de peine, de l'inconsistance de ne pas ?e moi-m?.
Tu es, tu es l'alchimiste de mon coeur
Et, toi, que j'aime, Oh, toi... que j'aime,
Eh.... oh, toi que j'aime...
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