Michael Kiske - Mortphose
Depuis toujours, ils ne cessent de geindre,
?hou?dans leurs larmes, sous un ciel qu'ils ne pouvaient atteindre.
Assez de toutes ces m?ocres consid?tions sur l'au-del?br>De ces vains g?ssements nourris d'horreur et de relents de tr?s.
Car de tr?s ?roprement parler, il n'y en a pas,
Mais juste l'absurde raison d'une nation de fous rest?pantois.
La mort, comme la satisfaction, ni n'est, ni ne sera.
Cette notion, projet?abusivement sur l'apparence dans sa dualit?vec le vivant,
N'est qu'interpr?ssions partiellement libre sur fond de mati?, de vide et de leur agglom?t
N'inscrivant son trac?ue dans le temps o? dernier aura vite fait de l'effacer.
Oh, combien ignorants
Et happ?par le temps
Sont les mill?ires abus?
Tous grotesquement ?r?br>Parmi les rideaux de larmes
Qu'ils ont de partout ?ndu en un cri d'alarme.
Il n'y a pas de vie mais qu'un vrombissement incessant,
Une agitation se dissipant aux alentours d'un ?centre vulgaire,
Une explosion de mati? encercl?de ses ?os r?nnants,
Transf?nt vibrations inutiles et autres mouvements stellaires
Sur lesquelles l'homme est venu se greffer et se constituer
En s'abreuvant du m? mouvement originel.
Pas d'existence particuli? pour cet ?e si vulgairement compos?br>Juste empoisonn?ar ses donations de sens morales sempiternelles.
Il ne peut rien ?e d'autre que cette totalit?br>Pas de place ici ou ailleurs pour une quelconque divinit?r>Ou m? une vie telle que celle que nous nous sommes arrog?
Nous ne sommes ici que pour encore et encore perp?er
Ce sinistre mouvement qui toujours agite
Nos petites pr?nces qu'il annule ou r?rgite.
?hou?dans leurs larmes, sous un ciel qu'ils ne pouvaient atteindre.
Assez de toutes ces m?ocres consid?tions sur l'au-del?br>De ces vains g?ssements nourris d'horreur et de relents de tr?s.
Car de tr?s ?roprement parler, il n'y en a pas,
Mais juste l'absurde raison d'une nation de fous rest?pantois.
La mort, comme la satisfaction, ni n'est, ni ne sera.
Cette notion, projet?abusivement sur l'apparence dans sa dualit?vec le vivant,
N'est qu'interpr?ssions partiellement libre sur fond de mati?, de vide et de leur agglom?t
N'inscrivant son trac?ue dans le temps o? dernier aura vite fait de l'effacer.
Oh, combien ignorants
Et happ?par le temps
Sont les mill?ires abus?
Tous grotesquement ?r?br>Parmi les rideaux de larmes
Qu'ils ont de partout ?ndu en un cri d'alarme.
Il n'y a pas de vie mais qu'un vrombissement incessant,
Une agitation se dissipant aux alentours d'un ?centre vulgaire,
Une explosion de mati? encercl?de ses ?os r?nnants,
Transf?nt vibrations inutiles et autres mouvements stellaires
Sur lesquelles l'homme est venu se greffer et se constituer
En s'abreuvant du m? mouvement originel.
Pas d'existence particuli? pour cet ?e si vulgairement compos?br>Juste empoisonn?ar ses donations de sens morales sempiternelles.
Il ne peut rien ?e d'autre que cette totalit?br>Pas de place ici ou ailleurs pour une quelconque divinit?r>Ou m? une vie telle que celle que nous nous sommes arrog?
Nous ne sommes ici que pour encore et encore perp?er
Ce sinistre mouvement qui toujours agite
Nos petites pr?nces qu'il annule ou r?rgite.
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