Patrick Bruel - L'adieu
VOCAL : Jean-Louis Aubert/Patrick Bruel/Jean-Jacques Goldman/Marc Lavoine
Reprise Garou (Didier Barbelivien)
Adieu
Aux arbres mouill?de septembre
leur soleil de souvenir
ces mots doux, ?es mots tendres
Que je t’ai entendu me dire
la faveur d’un chemin creux
Ou d’une bougie allum?br>Adieu ?e qui fut nous deux
la passion du verbe aimer
L’adieu est une infinie diligence
O?s chevaux ont d?uffrir
O?s reflets de ton absence
Ont marqu?’ombre du plaisir
L’adieu est une lettre de toi
Que je garderai sur mon cœur
Une illusion de toi et moi
Une impression de vivre ailleurs
L’adieu n’est que v?t?evant Dieu
Tout le reste est lettre ?crire
ceux qui se sont dit adieu
Quand il fallait se retenir
Tu ne peux plus baisser les yeux
Devant le rouge des chemin?
Nous avons connu d’autres feux
Qui nous ont si bien consum?br>
L’adieu, c’est nos deux corps qui se s?rent
Sur la rivi? du temps qui passe
Je ne sais pas pour qui tu pars
Et tu ne sais pas qui m’embrasse
Nous n’aurons plus de jalousies
Ni de paroles qui font souffrir
Aussi fort qu’on s’?it choisi
Est fort le moment de partir
Oh l’adieu !
L’adieu c’est le sanglot long des horloges
Et les trompettes de Waterloo
Dire ?ous ceux qui s’interrogent
Que l’amour est tomb? l’eau
D’un bateau ivre de tristesse
Qui nous a rong?oi et moi
Les passagers sont en d?esse
Et j’en connais deux qui se noient
Adieu
Aux arbres mouill?de septembre
leur soleil de souvenir
ces mots doux, ?es mots tendres
Que je t’ai entendu me dire
la faveur d’un chemin creux
Ou d’une bougie allum?br>Adieu ?e qui fut nous deux
la passion du verbe aimer
L’adieu c’est le loup blanc
Dans sa montagne
Et les chasseurs dans la vall?br>Le soleil qui nous accompagne
Est une lune b? ?leurer
L’adieu ressemble ?es mar?
Qui viendront tout ensevelir
Les marins avec les mari?
Le pass?vec l’avenir
Oh l’adieu !
Oh l’adieu !
Reprise Garou (Didier Barbelivien)
Adieu
Aux arbres mouill?de septembre
leur soleil de souvenir
ces mots doux, ?es mots tendres
Que je t’ai entendu me dire
la faveur d’un chemin creux
Ou d’une bougie allum?br>Adieu ?e qui fut nous deux
la passion du verbe aimer
L’adieu est une infinie diligence
O?s chevaux ont d?uffrir
O?s reflets de ton absence
Ont marqu?’ombre du plaisir
L’adieu est une lettre de toi
Que je garderai sur mon cœur
Une illusion de toi et moi
Une impression de vivre ailleurs
L’adieu n’est que v?t?evant Dieu
Tout le reste est lettre ?crire
ceux qui se sont dit adieu
Quand il fallait se retenir
Tu ne peux plus baisser les yeux
Devant le rouge des chemin?
Nous avons connu d’autres feux
Qui nous ont si bien consum?br>
L’adieu, c’est nos deux corps qui se s?rent
Sur la rivi? du temps qui passe
Je ne sais pas pour qui tu pars
Et tu ne sais pas qui m’embrasse
Nous n’aurons plus de jalousies
Ni de paroles qui font souffrir
Aussi fort qu’on s’?it choisi
Est fort le moment de partir
Oh l’adieu !
L’adieu c’est le sanglot long des horloges
Et les trompettes de Waterloo
Dire ?ous ceux qui s’interrogent
Que l’amour est tomb? l’eau
D’un bateau ivre de tristesse
Qui nous a rong?oi et moi
Les passagers sont en d?esse
Et j’en connais deux qui se noient
Adieu
Aux arbres mouill?de septembre
leur soleil de souvenir
ces mots doux, ?es mots tendres
Que je t’ai entendu me dire
la faveur d’un chemin creux
Ou d’une bougie allum?br>Adieu ?e qui fut nous deux
la passion du verbe aimer
L’adieu c’est le loup blanc
Dans sa montagne
Et les chasseurs dans la vall?br>Le soleil qui nous accompagne
Est une lune b? ?leurer
L’adieu ressemble ?es mar?
Qui viendront tout ensevelir
Les marins avec les mari?
Le pass?vec l’avenir
Oh l’adieu !
Oh l’adieu !
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